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L’Office Artistique de la Région Aquitaine • L’Office de Diffusion et d’Information Artistique de Normandie • L’Office National de Diffusion Artistique • Réseau en scène Languedoc-Roussillon, s’engagent d’une même voix, et souscrivent à une charte commune de soutien à la diffusion du spectacle vivant…
création
Inspirées par "Les exercices de style" de Raymond Queneau, Les Grandes Gueules ont choisi d’adapter en musique 25 versions de cette histoire, de cette fantaisie. Parmi les styles musicaux explorés, il y a le jazz, bien-sûr, mais aussi un opéra miniature, une chanson de la Star ac’, un chœur religieux, un hymne partisan, une chanson d’école, une fête africaine et une version "robot" !
Rue Rouge élabore patiemment un univers qui lui ressemble : libre, poétique, joyeux et instinctif, une histoire vieille comme le monde, moderne comme un nouveau printemps. C’est de la chanson, c’est du rock, c’est du swing, c’est de la java, c’est du rouge incandescent, lumineux et dansant, révolutionnaire.
Il ne s’agit pas de faire revivre Marx comme on agiterait un drapeau ou de souffler pour les raviver sur les cendres dispersées à tous vents de la révolution, pas question non plus de représenter le bonhomme Marx... La philosophie de Marx, une fois débarrassée des spectres de son époque, débarrassée du marxisme-léninisme et autres approximations d’interprétation, révèle une analyse et une critique radicale du capitalisme.
Fruit d’une fusion entre tambours et hautbois, GraiL’oLi est né à Saint-Martial, village du Gard, le jour de la Saint-Blaise. En cherchant des ponts entre expérimentation et traditions, GraiL’oLi crée une fusion « brasilocatalanoccitane » et devient une fanfare à la fois « festive et érudite ». L’ambiance varie donc d’une écoute attentive à l’hystérie collective…
Le groupe Balaubois s’est constitué autour de deux hautbois languedociens, accompagnés par un violon et un accordéon chromatique. Le répertoire de cette formation est centré sur les musiques de danse du Languedoc. Danses du "bal moderne", avec polkas, scottishes, mazurkas et leurs variantes locales, ainsi que toutes les danses spécifiques de ce territoire très étendu.
Alors qu’une révolution menace à l’extérieur, les clients du Grand Balcon, maison d’illusions et bordel de luxe tenu par Madame Irma, se livrent à d’étranges cérémonies dans les salons. Ils jouent à être l’Évêque, le Juge, le Général, autant de symboles de l’ordre en place…
création
En une journée, de l’obscurité avant l’aube à l’obscurité après le crépuscule, de l’orient à l’occident, "Septembres" est l’histoire d’un poseur de bombe, l’histoire d’un enfant qui sort d’une ville bombardée pour monter sur une colline et assister au lever du soleil, d’un enfant qui devient kamikaze, d’un enfant qui devient adulte. L’histoire d’un processus de déshumanisation.
Le groupe Zaragraf allie plusieurs univers : les musiques d’Europe de l’Est, des Balkans, d’Andalousie, les sons d’une guitare électrique ou de cuivres, avec en toile de fond un voyage sans cesse renouvelé entre les confins du réel et un ailleurs improbable. Le chant invite à la danse, à la folie, dans une course effrénée qui aspire à la vie…
Voici donc l’histoire de Johanna, qui n’avait pas de grand-mère, qui cherche et trouve une vieille dame qui veut bien être sa grand-mère et qui lui apprend à siffler… Hélas ! Johanna ne parviendra à savoir siffler que le jour de la mort de sa grand-mère… Une histoire avec marionnettes, où l’on rit et où l’on pleure, où l’on apprend à siffler et à manger des cerises…
Accompagnée et coproduite par la Verrerie d’Alès, la Compagnie La Faux Populaire / Le Mort aux Dents fait partie de différents programmes régionaux. Sa création intitulée "Cirque précaire", conçue et interprétée par Julien Candy, mise en scène par Stéphane Dupré, invite au rire et à une réflexion ludique et simple sur le monde qui nous entoure.
Pièce chorégraphique pour quatre danseurs, inspirée des dessins de Franz Kafka et commentés par Madame Jacqueline Sudaka-Bénazéraf dans son livre “Le regard de Franz Kafka”. Un regard perçu comme un artiste visuel, qui s’inscrit dans une tradition, ou plutôt une filiation d’une pensée visuelle de la calligraphie chinoise aux films muets en passant par le théâtre yiddish.
L’enfant commence son existence en étant déjà approprié par l’autre, il doit à son tour s’approprier les autres, mais toujours au nom d’une tierce : l’origine, la loi, les ancêtres… Avec "Pas de deux", la Compagnie Aurelia présente une pièce sur l’identité, sur le sentiment qu’elle nous ait depuis toujours accompagnés, et pour ainsi dire… doublés !